C’est sur l’annonce faite à la volée ( « collaboration souhaitée pour mise à disposition auprès bibliothèques« ) que se noue un étrange contact avec François Bon. Aperçu en décembre 2007 lors d’une mémorable soirée de lecture consacrée à Henri Michaux à la maison Gueffier en même temps que l’artothèque de la médiathèque exposait une assez extraordinaire collections de dessins du dit Henri, on peut dire que sous ces auspices, tout était possible. L’art mène à tout.
Sauf que la route est toujours plus longue que prévu.
Le nouveau projet d’installation de postes publics piétine ; d’autres préoccupations se font jour. En même temps, l’offre publie.net s’affine : quelques échanges surréalistes (merci Michaux !) permettent de trouver un langage commun sur la mise à disposition par adresse IP. En novembre 2008, décision est prise de s’abonner à publie.net. Il faut dire qu’alors la mise en œuvre est d’une rapidité impressionnante : environ deux heures après envoi du contrat d’abonnement, nous lisons ! Exploration de la chose, choix de textes, chargement sur la Cybook (la seule tablette pour l’heure) : voilà une offre qui nous semble très abordable par les lecteurs, même si certains textes s’avèrent assez ardus pour le public qui fréquente la médiathèque. Ajoutons que nous bénéficions d’une offre à 250 € HT (= 300 € TTC) pour un ensemble conséquent.
L’aventure ne s’arrêtera pas là.
le rapport au surréalisme n’est pas à prendre négativement, Michel ! pour nous, oui, vital de pouvoir travailler directement en situation concrète alors immense merci pour la confiance – et un salut amical à toute l’équipe : en tant que vendéien 100% encore plus heureux que ce soit ensemble…